Ces vaccins indispensables aux enfants

A partir du 01 janvier 2018, l’Etat a prescrit une liste de vaccins obligatoires à tous les enfants moins de 2 ans. S’ils étaient au nombre de 3 auparavant, ils ont grimpé à 11 à partir de l’année prochaine. Cette initiative a pour objectif de contenir les diverses maladies graves faisant grimper le taux de mortalité des petits.

Les vaccins supplémentaires

Pour 2018, le gouvernement français a pris la décision de compléter les 3 vaccins obligatoires par 8 nouveaux. Avant cette disposition, les enfants devaient être vaccinés contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite communément connu sous le nom de vaccin DPT. Ces 8 vaccins complémentaires sont : rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie haemophilus influenzae B, coqueluche, méningocoque C et pneumocoque. Le Ministère de la Santé affirme que ces divers vaccins sont testés, et ont été utilisé depuis de nombreuses années. Ces vaccins seront obligatoires pour les nouveaux nés ainsi que les enfants de moins de 2 ans. Cette liste pourra effectivement s’élargir en fonction de la situation épidémiologique dans le pays.

Possibilité de ne pas s’y conformer ?

Les parents qui se dérobent d’une vaccination obligatoire s’expose généralement à des sanctions pénales. En effet, d’après le Code de la santé publique, ces derniers devront payer 3750 euros d’amendes ainsi qu’un emprisonnement de 6 mois ferme. Dans le cas où la non-conformité à la vaccination engendre un risque sanitaire palpable à l’enfant, ses géniteurs pourront être poursuivis pour manquement à la responsabilité et devront acquitter une amende de 3000 euros ainsi 2 ans d’emprisonnement.
Par rapport aux articles L3111-2 pour la diphtérie&tétanos, et L3111-3 pour la polio du Code de la Santé publique, tout enfant doit bénéficier d’une vaccination à l’âge imposé par le calendrier des vaccinations. Les vaccins complémentaires instaurés par l’Etat seront réglementés par ces diverses lois.
Le refus de vaccination aura également des impacts directs sur l’enfant puisqu’il risque de ne pas être admis dans un établissement scolaire.

No Comments Yet.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *